Réseau CHU, jeudi 24 février 2011. | Le 1er mars, RESEAU CHU, site portail des 32 centres hospitaliers régionaux et universitaires, lance sa version 2011 : design aéré, présentation claire et adaptée aux handicaps visuels… La forme et le fond se veulent plus dynamiques avec une actualité désormais hiérarchisée, une page d’informations pratiques réservée à chaque CHU et des fonctionnalités de dernière génération. | CHU d'Angers, jeudi 24 février 2011. | A compter du 1er mars 2011, Yvonnick Morice assurera la direction générale du CHU de Lille. A la tête du Centre Hospitalier Universitaire d'Angers depuis 2003, Yvonnick Morice aura mené à bien de nombreux projets -tant médicaux, architecturaux que structurels- qui participent aujourd'hui à la renommée de l’établissement. Une réussite qu’il partage avec la communauté hospitalière angevine, soudée au service des patients et fédérée autour des valeurs du service public. Ces principes ont inspiré le projet d'établissement 2011-2012 récemment adopté par le conseil de surveillance. Elaboré dans un contexte de bonne santé financière, ce projet souligne les capacités du CHU à répondre aux besoins des patients, à renforcer ses coopérations avec les établissements partenaires et à dynamiser, aux côtés de l'université, l'activité de recherche. | CHU de Montpellier, jeudi 24 février 2011. | 1er établissement de France à disposer d’une unité Médico Chirurgicale Plaies et Cicatrisations de 7 lits, le CHRU de Montpellier a été retenu pour tester une machine révolutionnaire : le Coblation. Avant cette innovation, seules les machines projetant de l'eau ou abrasant mécaniquement la surface de la plaie permettaient de retirer des tissus nécrosés ou sales, gênant la cicatrisation. Aujourd'hui, la technique de Coblation permet une approche chimique de la détersion (nettoyage de la surface de la plaie), par création locale d'un plasma qui génère une explosion moléculaire locale. Cette destruction cellulaire permet de retirer de la plaie ce qui est nécessaire. la greffe cutanée ou le lambeau pourront alors être posés sur cette plaie rendue propre. | CHU de Rennes, vendredi 18 février 2011. | Gymnastique douce, atelier de marche, suivi à distance personnalisée par un éducateur sportif spécialisé... Le CHU de Rennes encourage les patients atteints d'un cancer à pratiquer une activité physique adaptée. Ainsi toute personne suivie à l'Institut Régional de Cancérologie de Rennes (Centre Eugène Marquis, CHU, Clinique mutualiste la Sagesse) peut, après accord de son médecin, bénéficier d'un programme de réentrainement à l'effort adapté à son état de santé dispensé par l'unité de médecine du sport du CHU de Rennes. A la clé un bénéfice thérapeutique : la reprise de contact avec un corps que la maladie et les médicaments fatiguent permet de se sentir mieux, d'atténuer la sensation de fatigue liée au cancer. Enfin, le fait de mobiliser régulièrement son corps peut même diminuer le risque de récidive notamment pour les cancers du sein et du côlon. À l'inverse, la sédentarité a été identifiée comme un facteur de risque pour certains cancers. | CHU de Nantes, mardi 15 février 2011. | Le centre ambulatoire nantais de gérontologie clinique dispose depuis son ouverture en mai 2010 d'un matériel exceptionnel : une piste d'analyse métrologique de la marche, précieux outil d'évaluation, de prévention et de suivi de la prise en charge. L'analyse sur tapis de marche permet de mieux comprendre les processus physiopathologiques de certaines maladies et de dépister de façon précoce la survenue des conséquences néfastes des troubles de la marche ; elle est utile ensuite pour préciser le suivi kinésithérapique à instaurer et mesurer son efficacité. | CHU de Nancy, lundi 14 février 2011. | Les milieux hospitalier et universitaire repèrent dans les promotions les « médecins et chercheurs émergents », entendez par là des étudiants affichant toutes les qualités requises pour devenir des professionnels de pointe dans un proche avenir. Le CHU et la Faculté de Médecine de Nancy s'appuient ainsi sur une commission de prospective pour suivre d'un peu plus près ces talents prometteurs. Dans cette droite ligne et pour la première fois en Lorraine, le CHU, l'Université Henri Poincaré, la Faculté de Médecine de Nancy et sanofi-aventis se sont associés pour proposer à ces émergents un parcours de formation inédit visant à booster l'évolution de leur carrière. | Assistance Publique - Hôpitaux de Marseille, jeudi 24 février 2011. | 70% des habitants de Martigues et de son agglomération sont traités à Martigues. Lorsqu'ils relèvent de soins plus spécialisés, les Martégaux bénéficient depuis 18 mois d'un bon niveau de prise en charge dans le cadre de filières de soins complètes intégrant les centres experts de l'AP-HM et notamment ceux de l’hôpital Nord. Grâce à ces accords, les compétences et les moyens des deux établissements seront utilisés de manière rationnelle et des consultations avancées seront assurées à Martigues quand les spécialistes sont difficiles à recruter localement. | Revue de presse des CHU avec la MACSF, Canal+ Collectivités, Relais H, jeudi 24 février 2011. | 1ère médicale française : naissance du bébé du double espoir Le 7 février 2011, le Pr René Frydman annonce la naissance du « bébé du double espoir » Umut-Talha « notre espoir » en turc est né le 26 janvier 2011 par fécondation in vitro après un double diagnostic génétique pré-implantatoire (DPI). Enfant sain au groupe tissulaire compatible (HLA), son sang de cordon a été conservé afin d'être greffé ultérieurement à sa sœur aînée atteinte d'une maladie génétique grave et invalidante, la beta-thalassémie. Cette expérimentation avait reçu l’aval de l’agence de biomédecine. | CHU de Tours, jeudi 24 février 2011. | Partenaire de mars bleu « campagne nationale de dépistage du cancer colorectal », le CHU de Tours invite les quinquagénaires à s’informer sur ses stands le 9 mars à l’hôpital Bretonneau et le 10 mars à l’hôpital Trousseau. Le message des professionnels de santé est simple : démontrer aux hommes et aux femmes de 50 à 74 ans, l’intérêt du test Hemoccult II qui permet d’effectuer une recherche de sang occulte dans leurs selles. L’efficacité de cet examen biennal, simple, indolore et entièrement gratuit, a été démontrée. En effet, le taux de survie à 5 ans d’un cancer colorectal traité à un stade précoce est de 94%. Malheureusement, diagnostiqué encore tardivement, ce cancer, reste un des plus meurtriers après le cancer du poumon. Il est responsable de près de 17 000 décès par an. | |