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Les maladies mitochondriales

Les maladies mitochondriales, maladies rares,maladies génétiques,

maladies mitochondriales

une nouvelle maladie mitochondriale,Nouveaux syndromes Insuffisance pancréatique exocrine, anémie dysérythropoïétique et hyperostose du crâne

Publié le 1 Avril 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

Nouveaux syndromes Insuffisance pancréatique exocrine, anémie dysérythropoïétique et hyperostose du crâne :
une nouvelle maladie mitochondriale

 Shteyer et coll. décrivent trois garçons et une fille, nés de deux familles consanguines, souffrant d’insuffisance pancréatique exocrine, d’une anémie dysérythropoïétique et d’une hyperostose localisée au crâne. Ils ont identifié une mutation homozygote dans le gène COX4I2. La protéine COX4 est une sous-unité structurale de la cytochrome C oxydase, une enzyme essentielle de la chaîne respiratoire mitochondriale. Les auteurs suggèrent d’analyser la séquence de ce gène chez les patients souffrant de malabsorption due à une insuffisance pancréatique exocrine et chez les patients avec une anémie dysérythropoïétique.

 The American Journal of Human Genetics ; 84(3):412-7 ; mars 2009
Source Orphanet
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Hypersensibilité à la douleur : une avancée prometteuse

Publié le 28 Mars 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

http://fr.rd.yahoo.com/partner/maxisciences/SIG=117464kae/**http://www.maxisciences.com/ Maxisciences

France - L'allodynie correspond à la perception douloureuse d'une stimulation qui normalement ne l'est pas. Particulièrement invalidant, ce symptôme neurologique restait jusqu'ici mal compris et de fait, difficile à soigner. Mais de récentes découvertes, réalisées par une équipe de l'Inserm, ouvrent de nouvelles pistes de recherche pour son traitement. Lire la suite l'article


Photos/Vidéos liées

 
Hypersensibilité à la douleur : une avancée prometteuse

L'allodynie tactile dynamique est une douleur provoquée par une stimulation normalement non douloureuse comme un simple effleurement de la peau ou une caresse légère. Ce symptôme apparaît fréquemment à la suite d'une lésion du système nerveux périphérique ou central.

           
Les recherches menées jusqu'alors n'avaient pas permis d'identifier de manière spécifique les mécanismes de cette douleur. Grâce à une approche inédite, Radhouane Dallel et son équipe ont contourné les difficultés habituellement rencontrées par les chercheurs. Leur étude a montré que l'allodynie tactile dynamique dépend d'un traitement anormal de l'information tactile (c'est-à-dire émanant du toucher) dans les cornes dorsales de la moelle épinière, le premier relais central des messages de la douleur. En altérant les systèmes qui modulent la transmission des messages douloureux dans cette région, les chercheurs ont réussi à reproduire de façon expérimentale une allodynie tactile dynamique, mimant de façon remarquable ce que l'on observe chez les patients.
             
Partant de ce constat, leurs recherches, menées chez le rat, ont permis d'identifier un réseau de neurones qui, lorsqu'il est activé, transfère l'information tactile vers le système nociceptif (le système de la douleur) transformant ainsi un stimulus normalement indolore en message de douleur.
             
Fait marquant de ces recherches, le réseau responsable de l'allodynie est indépendant et différent des neurones des cornes dorsales qui sont mis en jeu lors d'une stimulation douloureuse intense. Ce qui explique la difficulté de soigner ce symptôme par les traitements antidouleur classiques.Dans la continuité de ses travaux, l'équipe s'intéresse plus en détail à l'activation de ce réseau après une lésion nerveuse périphérique.
Cela devrait à terme, aboutir au développement d'un traitement médicamenteux de ces douleurs.

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La loi Handicap a 4 ans : le gouvernement et la HALDE lui offrent un bilan et des recommandations

Publié le 18 Mars 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

http://www.wikio.fr La loi Handicap a 4 ans : le gouvernement et la HALDE lui offrent un bilan et des recommandations
 

Quatre ans après la promulgation de la loi du 11 février 2005, pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, le ministère du travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville propose un bilan d’étape.
Ce bilan atteste de l’effort budgétaire engagé par l’Etat, des progrès réalisés en matière de scolarisation, de pouvoir d’achat, d’insertion professionnelle et de compensation du handicap. Il témoigne également des progrès à réaliser en matière d’accompagnement du projet de vie, d’accessibilité, d’intégration sociale et d’accès à la compensation des conséquences du handicap.
Concernant la scolarisation des élèves handicapés, les chiffres sont encourageants : en 2009, 170 000 enfants handicapés sont scolarisés contre 131 000 en 2005. Parallèlement, la HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité) présente un bilan plus approfondi basé sur un sondage réalisé auprès de directeurs d’écoles maternelles et primaires, d’élus et de parents d’élèves handicapés. Le constat est unanime : des difficultés en terme de moyens d’accompagnement demeurent. Pour établir une égalité d’accès à la scolarisation, la HALDE adresse une série de recommandations aux acteurs concernés : le gouvernement, la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA), les Maisons Départementales des Personnes Handicapées (MDPH) et les associations concernées. Elles visent à améliorer l’information statistique sur la situation des élèves handicapés en milieu ordinaire, l’accès à l’information des parents sur le droit à la scolarisation de leurs enfants handicapés et les voies de recours, l’accessibilité du patrimoine scolaire, l’accès à l’information des responsables d’établissements scolaires, des enseignants et des inspecteurs de l’Education nationale, à établir un état des lieux des formations et de leur développement et à faire évoluer le statut et la formation du personnel accompagnant.

Lire le
document de la HALDE

Source Orphanet.

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Déficit en carnitine palmitoyltransférase II : le bézafibrate montre son efficacité dans un essai pilote

Publié le 18 Mars 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

Déficit en carnitine palmitoyltransférase II : le bézafibrate montre son efficacité dans un essai pilote
 

Le déficit en carnitine palmitoyltransférase II (CPT2) est une anomalie héréditaire de l’oxydation mitochondriale des acides gras à chaînes longues. La forme adulte modérée se traduit par une intolérance à l’effort, des myalgies et des raideurs musculaires, accompagnées d’un risque constant de destruction des fibres musculaires (rhabdomyolyse). Une équipe française a administré du bezafibrate à 6 patients adultes pendant 6 mois. Sur le plan biologique, l’efficacité du traitement a été vérifiée en évaluant la capacité des mitochondries à transformer en énergie les acides gras, ainsi qu’en quantifiant le taux d’ARN messager codant la CPT2 présents dans les muscles. Ces deux paramètres ont vu leur valeur augmenter. De plus, les patients traités ont observé une nette augmentation de leurs capacités d’activité physique ainsi qu’une diminution des douleurs musculaires.
Accédez à l’article via Pubmed


Source Orphanet.

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28 février 2009 : Journée internationale des maladies rares !

Publié le 26 Février 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

Samedi prochain sera l’occasion de la seconde journée internationale des maladies rares, un événement relayé en Europe et au-delà pour sensibiliser le grand public, les professionnels de santé et les décideurs politiques aux maladies rares. En France, les maladies rares concernent 3 millions de personnes. En Europe, plus de 25 millions de citoyens sont touchés. Les patients souffrent souvent de retard ou d’erreur diagnostique, d’isolement et, malgré les avancées de la recherche, de l’absence de traitement.
Des actions de sensibilisation sont organisées par de nombreuses associations ou alliances nationales. De la Chine à l’Argentine en passant par de nombreux pays européens, tous les événements sont annoncés sur le site dédié :
rarediseaseday.org.



En France, l’Alliance Maladies Rares lance une campagne de sensibilisation présentée aujourd’hui lors d’une conférence de Presse à la Fondation Groupama pour la Santé. Le 28 février, l’Alliance, représentée par ses délégués régionaux, présentera, dans des lieux publics et dans les centres de référence, les actions de sensibilisation qui ponctueront les prochains mois. Une campagne d’affichage sera déployée dans 23 000 pharmacies, dans les centres de référence, les centres de compétence et dans des lieux publics en région. Une campagne de sensibilisation sera lancée auprès de classes de CE2-CM1 dans 2000 écoles françaises. A cette occasion, l’Alliance a édité un livre pour les jeunes élèves retraçant le parcours d’un enfant atteint de maladie rare avec des thèmes récurrents dans le vécu des malades : l’errance diagnostique et l’isolement, la prise en charge dans un centre de référence, l’adhésion à une association de malades. Un livret sera également destiné aux parents, leur fournissant les sources d’informations principales dans le domaine des maladies rares : le Plan National Maladies Rares, le système de prise en charge (centres de référence et centres de compétence), Orphanet et Maladies Rares Info Services (dispositif de téléphonie en santé dédié aux maladies rares). Au total, ce sont 50 000 « kits » de sensibilisation qui seront distribués.
Pour tout savoir sur ces manifestations, rendez-vous sur le site de l’
Alliance Maladies Rares !
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AFFICHE MALADIES RARES

Publié le 23 Février 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

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Vers une prise en charge pérenne et généralisée des frais de transport des personnes handicapées

Publié le 11 Février 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

Vers une prise en charge pérenne et généralisée des frais de transport des personnes handicapées


Vendredi 23 janvier, le nouveau groupe de travail « prise en charge des frais de transport des personnes handicapées » annoncé par Valérie Létard, secrétaire d’Etat chargée de la Solidarité, auprès du ministre du Travail, des Relations sociales, de la Famille, de la Solidarité et de la Ville, s’est réuni autour des représentants de l’assurance maladie, des conseils généraux, de la Caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie, des services de l’Etat et des associations de personnes handicapées. Devant la complexité et la diversité des prises en charge, les participants se sont accordés sur la nécessité de réfléchir à des solutions pérennes permettant de couvrir tous les cas de figure rencontrés. Ainsi, sur la base d’une enquête qui sera effectuée auprès d’un échantillon représentatif d’établissements et de services et en lien avec l’ensemble des partenaires concernés, le groupe de travail proposera, avant le 30 juin prochain, un dispositif rénové et pérenne d’organisation des transports et de prise en charge des frais afférents. Il devrait permette de « prendre en compte à la fois la totalité mais aussi la diversité des situations vécues par les familles et les personnes handicapées. »

En savoir plus

Source:Orphanet
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Dysgénésie réticulaire : déficit d’une enzyme du métabolisme énergétique mitochondrial

Publié le 28 Janvier 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

Dysgénésie réticulaire : déficit d’une enzyme du métabolisme énergétique mitochondrial
 

La dysgénésie réticulaire est une des formes les plus sévères de déficit immunitaire combiné sévère. Deux articles publiés dans Nature Genetics ont identifié des mutations dans le gène codant l’adénylate kinase 2 chez des patients avec une dysgénésie réticulaire associée à une surdité neurosensorielle. Cette protéine, impliquée dans le métabolisme énergétique de la mitochondrie, est nécessaire à la différenciation leucocytaire.
Lire le résumé du premier article sur Pubmed
Lire le résumé du second article sur Pubmed


 
Pour en savoir plus sur "Dysgénésie réticulaire"

 
Nature Genetics ; 41(1):101-5 ; janvier 2009

Source Orphanet

Institute for Transfusion Medicine, University of Ulm, Ulm, Germany. Institute for Transfusion Medicine, University of Ulm, Ulm, Allemagne.

Elle est caractérisée par l'absence de granulocytes et de la carence quasi totale de lymphocytes dans le sang périphérique, une hypoplasie du thymus et des organes lymphoïdes secondaires, et le manque d'innée et adaptative humorale et cellulaire les fonctions immunitaires, ce qui conduit à une septicémie mortelle en quelques jours après la naissance.

Dans la moelle osseuse d'individus avec dysgénésie réticulaire, la différenciation myéloïde est bloqué à l'étape promyelocytic, alors que les érythro-mégacaryocytaire et de maturation est généralement normal.
Ces caractéristiques exclure un défaut de cellules souches hématopoïétiques, mais à un point unique de l'aberration myelo-lignées lymphoïdes. 
Le dramatique clinique de dysgénésie réticulaire et de son phénotype unique hématologiques ont suscité l'intérêt de l'inconnu dans la base génétique de ce syndrome.
Ici, nous montrent que le gène codant pour le métabolisme énergétique mitochondrial enzyme adénylate kinase 2 (AK2) est muté chez les personnes avec dysgénésie réticulaire.
Knockdown de zebrafish ak2 également conduit à des aberrations leukocyte développement, soulignant l'évolution du rôle conservées AK2. 
Nos résultats in vivo AK2 preuve de sélectivité dans la différenciation des leucocytes.
Ces observations suggèrent que dysgénésie réticulaire est le premier exemple d'un syndrome de l'immunodéficience humaine qui est un lien de causalité entre le métabolisme énergétique et qui peut donc être classé comme un mitochondriopathy

(traducteur en ligne)
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Les cellules IPS : portrait de ces cellules prometteuses

Publié le 26 Janvier 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

26/01/2009 -

 Les cellules IPS : portrait de ces cellules prometteuses Depuis leur découverte en 2006, les cellules IPS qui sont des cellules adultes présentant les caractéristiques et un potentiel similaires aux cellules embryonnaires, font le bonheur des spécialistes des cellules souches. Portrait de ces cellules prometteuses. Si l’on veut décrire schématiquement les cellules IPS (“cellules souches pluripotentes induites”), on peut dire que ce sont des cellules adultes qui ont bénéficié d’une cure de jouvence et qui se comportent alors comme des cellules embryonnaires. Bien sûr, la version scientifique de cette description est un peu plus complexe mais reste relativement simple. Ainsi, comme l’indique Marc Peschanski, de l’Institut des cellules souches pour le traitement et l'étude des maladies monogéniques (I-Stem), « ce qui est incroyable avec les cellules IPS, c’est la facilité avec laquelle on les obtient. » En la matière, les chercheurs partent d’une cellule adulte prélevée chez une personne, c’est-à-dire une cellule de dent, de peau, de sang, etc., dans laquelle ils introduisent un cocktail de gènes grâce à des rétrovirus. Une fois la cellule adulte reprogrammée, celle-ci est alors capable de s’autorenouveler indéfiniment et de se métamorphoser à la demande en n’importe qu’elle autre cellule de l’organisme. En d’autres termes, elle présente toutes les caractéristiques d’une cellule embryonnaire, c’est du moins ce que tendent à démontrer les recherches menées jusque-là. En effet, depuis 2006 et la mise au point des premières cellules IPS par Shinya Yamanaka de l’université de Kyoto (Japon) (1), des équipes ont obtenu à partir d’IPS, des cellules de peau, de cœur, des cellules neuronales, etc., « mais cela est encore délicat, » souligne Marc Peschanski . D’autres travaux indiquent qu’il est également possible de reprogrammer des cellules de malades et d’obtenir ainsi des lignées d’IPS “malades” ; une reprogrammation effectuée par exemple pour le déficit immunitaire en adénosine désaminase (ADA-SCID), la maladie de Gaucher, les dystrophies musculaires de Duchenne et Becker et la maladie de Parkinson. Dans ce domaine, l’équipe de Clive N. Svendsen du Centre Waisman (Etats-Unis) vient d’ailleurs d’indiquer qu’il a obtenu des lignées IPS à partir de cellules prélevées chez des enfants affectés par l’amyotrophie spinale (2). Qui dit caractéristiques équivalentes à celles des cellules embryonnaires humaines, suppose une utilisation similaire. En matière de recherches fondamentale et appliquée, on n’est pas loin de ce constat et, « à terme, nous pouvons envisager de travailler avec des lignées IPS “malades” pour du criblage moléculaire ou l’étude de maladies, » indique Marc Peschanski. En revanche, concernant leurs applications thérapeutiques éventuelles, le potentiel est encore très théorique. En effet, aujourd’hui, parmi les gènes nécessaires à leur obtention, certains sont impliqués dans des cancers. Par ailleurs, les rétrovirus chargés de transporter ces gènes peuvent aussi déclencher des processus cancéreux. En d’autres termes, si la recette est simplissime, elle n’est pas encore assez sûre pour que les IPS soient utilisées chez l’Homme. Pour autant, Marc Peschanski est confiant en l’avenir et assure « qu’il y a tellement d’équipes qui cherchent, qu’elles devraient trouver rapidement [les gènes et les vecteurs adéquats pour une utilisation chez l’homme, ndlr]. » Enfin, malgré les apparences, les IPS ne sont pas prêtes de voler la vedette des cellules embryonnaires. Certes, ces cellules se ressemblent terriblement, mais pour confirmer les caractéristiques et le potentiel des premières, il faut bien connaître les secondes, c’est ce qui fait dire au directeur d’I-Stem que « l’étude des cellules embryonnaires est donc plus que jamais indispensable. » (1) Induction of pluripotent stem cells from mouse embryonic and adult fibroblast cultures by defined factors, Cell, 25 août 2006, vol. 126, pp. 663-676 (2) Induced pluripotent stem cells from a spinal muscular atrophy patient, Nature, 15 janvier 2009, vol. 457, pp. 277-280


Auteur : Françoise Dupuy Maury (AFM  THELETHON)
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Ataxie de Friedreich : réduire le fer dans la mitochondrie ne suffit pas, il faut le rendre disponible dans le cytosol

Publié le 14 Janvier 2009 par mitochondriale dans maladies mitochondriales

L’ataxie de Friedreich est caractérisée par des troubles de la coordination des mouvements, de l’articulation, associés à différents signes neurologiques ainsi qu’à une cardiomyopathie et parfois à un diabète. Elle est due à des mutations du gène codant la frataxine, une protéine mitochondriale chaperonne du fer. La conséquence est un déséquilibre dans la distribution de cet élément entre la mitochondrie et le cytosol. Une approche thérapeutique consiste à rétablir cet équilibre en utilisant un siderophore, c’est-à-dire un agent chélateur pouvant être transporté à travers les membranes cellulaires par un mécanisme actif. Des chercheurs israéliens et français ont ainsi traité des cellules humaines déficientes en frataxine avec le deferiprone. Ils ont observé une restauration importante des fonctions mitochondriales. Selon les auteurs, les effets observés sont dus à la capacité de cet agent à chélater le fer d’une part, et surtout à le rendre disponible dans les compartiments où sa concentration était réduite.
Lire le résumé sur Pubmed


 
Pour en savoir plus sur "Ataxie de Friedreich"

 
Blood ; 112(13):5219-27 ; décembre 2008
 
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